Les contusions et les meurtrissures
J.F. Oberlin préconisait :
– d’envelopper la partie meurtrie avec un linge imbibé de vinaigre et du double d’eau tiède à renouveler toutes les deux heures.
– d’utiliser un cataplasme à base de persil, de cerfeuil ou d’artichaut sauvage concassé.
– de ne jamais appliquer d’emplâtre de graisse.
– de se garder des liqueurs spiritueuses
– de saigner lorsque le sang semble être épanché dans la tête, dans la poitrine, dans le ventre…
– de prendre la préparation suivante : une poignée de fleurs de sureau, deux onces de miel, une demi-once de vinaigre. Faire cuire le tout puis laisser reposer. Quand la liqueur est froide, ajouter deux pintes d’eau bouillante. Avant de boire, ajouter un grain de nitre par pinte.